Fourrures d'été
Voilà que les tilleuls se vêtent de leurs parures d’hiver pour impressionner l’été.
Du langage en mutation pour être toujours plus près de soi-même
Voilà que les tilleuls se vêtent de leurs parures d’hiver pour impressionner l’été.
Dans mon train, dans mon car, dans mon sac, dans mon ventre. Dans ma ville, dans mon œil, dans ma voix, dans mon cœur. Dans mon verre, dans mon bol. Dans mon champ, dans mon lit. Dans ma soupe. Dans mon silence, dans mon absence, dans mes cheveux, dans...